Défendons nos valeurs tant que nous le pouvons en Occident face aux médias Laïcs athée et nos élites, de même que ces derniers restent silencieux face à la situation affreuse et catastrophique des conditions de vies de nos frères et soeurs Chrétiens de par le monde où le poids de l'Idéologie totalitaire politico-religieux de l'Islam fait des ravages parmi les Chrétiens d'Orient et les ex-musulmans qui accueillent Jésus Christ dans leurs coeurs, sans compter l'idéologie Communiste (Chine, Vietnam, Cuba, Corée du Nord...), ainsi que les autres lynchages par les hindouismes. La Christianophobie est une réalité. 200 Millions de Chrétiens persécutés dans le monde. Plus de gens seront au courant, plus nos regards changeront... pour faire bouger les gens, il faut changer leur coeur !


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Apartheid Chrétiens : Luttons contre la Christianophobie!Categoría:Interés general - PolíticaDescripción:La christianophobie est une réalité, un fléau qui se réalise et s’exécute de par le monde dans des formes diverses et multiples. Cette persécution se fait à des échelles variés de par le monde mais qu’elles soient physiques ou intellectuelles, la violence de la Christianophobie est une réalité. Aussi, pour prendre toute la mesure de ce mouvement de haine, une distinction est faite entre la Christianophobie de l’Occident et celle du reste du Monde.

En Occident..
Lors de la parution de « Enquête sur la Christianophobie » le « Choc Du Mois » y réalisa une interview posant les fondations de la Christianophobie sur les Terres Occidentale. Michel De Jaeghere répondant à quatre questions établissant avec intelligence la Christianophobie dans le monde Occident.
Le Choc du Mois : Vous avez écrit une Enquête sur la christianophobie. Comment définissez-vous ce concept ?

Michel De Jaeghere : Notre époque est très sensible aux «phobies» de tous ordres – islamophobie, judéophobie, xénophobie, homophobie –, ces termes désignant tous l’intolérance et l’exclusion des minorités. Or, les catholiques pratiquants constituent une minorité contre laquelle tout est permis. J’ai recouru au néologisme « christianophobie », car le ressort profond de ce mouvement est la haine du Christ, auquel s’oppose fondamentalement notre société moderne, matérialiste et individualiste. Cette christianophobie se manifeste à travers des comportements très divers par leurs procédés et leur gravité. Elle n’opère pas seulement par « coups de poing », comme ce fut le cas avec le Da Vinci Code ou lors de l’agression du recteur de la cathédrale Notre-Dame de Paris par des militants homosexuels, mais aussi par un goutte-à-goutte, une infinité de petites vexations auxquelles nous finissons par nous habituer et qui nous inclinent à considérer notre condition de chrétiens pratiquants comme marginale, dans un climat général de méfiance à l’égard du christianisme.

Les anticléricaux, modèle IIIe République, seraient horrifiés par leurs descendants

Cela va du ton de dérision qu’adoptent les commentateurs de la télévision dès qu’ils traitent de questions spirituelles aux campagnes de presse organisées contre Rocco Buttiglione, ce commissaire européen révoqué pour avoir dit que l’homosexualité est un péché, ou contre Mel Gibson, victime d’une chasse à l’homme pour avoir porté à l’écran la Passion du Christ. Des poursuites judiciaires contre le député Christian Vanneste aux églises taguées ou incendiées. De la promotion des pseudo-exégètes qui remettent en cause l’historicité des Evangiles aux films à grand spectacle qui présentent l’histoire de l’Eglise comme une succession de violences. De la promotion des mémoires de l’abbé Pierre à la diffamation de Pie XII.

Comment expliquez-vous que ce nouveau déchaînement de haine intervienne au moment où le christianisme paraît très affaibli au sein de notre société sécularisée ?

Cette contradiction de la société moderne avec le christianisme et le catholicisme s’est déjà manifestée dans notre histoire par des crises violentes, notamment pendant la Révolution française et tout au long des grandes crises religieuses du XIXe siècle, jusqu’aux lois scélérates de 1905. Mais l’anticléricalisme du XIXe siècle semblait devoir se calmer à la suite de la séparation de l’Eglise et de l’Etat et, plus encore, après la renonciation de l’Eglise à régenter la société, scellée par l’adoption de la déclaration sur la Liberté religieuse au concile Vatican II. Cette apparente réconciliation reposait sur un malentendu, celui de la convergence de la morale laïque et de la morale catholique. Mais ce qu’on appelait la morale laïque était une morale chrétienne dont on avait enlevé la clef de voûte, c’est-à-dire la foi dans le Dieu Trinitaire. Faute de fondement et de principe directeur, elle s’est délitée au cours du XXe siècle. Le petit-fils de l’instituteur anticlérical a fait Mai 68 et son arrière-petit-fils est aujourd’hui pacsé, libertaire et fume des pétards, ce qui aurait épouvanté les «hussards noirs de la République ».
Paradoxalement, cette décomposition a eu lieu au moment où l’Eglise se ralliait aux idées de laïcité et de liberté de conscience. En affirmant l’incompétence de l’Etat en matière religieuse, les pères conciliaires pensaient que la morale catholique continuerait de s’imposer, parce qu’elle est naturelle. L’ordre naturel, connaissable par la raison, inciterait les sociétés à se conformer à la loi divine, même sans reconnaître la vérité du catholicisme. Les pères imaginaient ainsi faire un choix habile et en tirer un bénéfice pour l’Eglise dans son combat contre le totalitarisme communiste. Mais ils n’ont pas vu que la morale laïque à laquelle ils se ralliaient était en train de s’effondrer.

Les lobbies préparent les lois, les médias les imposent, le Parlement les entérine

Sans y chercher un rapport de cause à effet, il est significatif que le mouvement de Mai 68 se soit produit trois ans après la clôture du concile. La confrontation avec l’Eglise n’a pas eu lieu immédiatement, car la révolution des mœurs engendrée par cette révolution libertaire s’est répandue progressivement. Surtout, l’Eglise était elle-même en crise : les curés défroquaient et les fidèles fuyaient les églises.
C’est le pontificat de Jean Paul II qui a provoqué la réaction christianophobe, dans la mesure où, avec les JMJ, les grands rassemblements de foule et la ferveur que sa personne suscitait, ce pape a restauré la visibilité de l’Eglise, que les forces dissolvantes avaient le sentiment d’avoir liquidée. Jean Paul II a montré que l’esprit missionnaire de l’Eglise est encore vivant. Et cette survivance d’un christianisme que la société post-soixante-huitarde avait cru enterrer exaspère les élites qui dirigent nos sociétés libertaires. Ainsi, l’affrontement ne s’est pas produit au moment où l’Eglise était en train de disparaître de la vie sociale, mais lorsque, ayant disparu de la vie sociale, elle relève la tête avec la restauration wojtylienne.

On avait été habitué jusqu’ici à un type d’antichristianisme à dominante politique. Aujourd’hui, on a plutôt affaire à un antichristianisme de type culturel et médiatique…

Parce qu’il n’y a plus de politique ! Au début du XXe siècle, la querelle opposait en effet la République et l’Eglise, en quelque sorte les ministres et les évêques. Or, nous assistons au dépérissement de l’Etat et à son remplacement par une nébuleuse mondialiste manipulée par des lobbies. De son côté, l’Eglise, elle aussi, traverse une crise. Aujourd’hui, l’affrontement oppose, d’une part, les lobbies qui tiennent les manettes de la société et se sont emparés à leur profit des moyens de coercition de l’Etat, et, d’autre part, ceux qui se réclament de la foi catholique (nos évêques étant parfois, à cet égard, aux abonnés absents). Le champ même de la confrontation s’est déplacé : les lois sur les mœurs, par exemple, n’ont pas été voulues par l’Etat mais préparées par les lobbies, imposées par les médias et finalement entérinées par un Parlement qui n’est qu’une chambre d’enregistrement de la pensée dominante.

(...)

Le succès du livre d’Onfray (Traité d'athéologie) ne s’explique-t-il pas, aussi, par une immense ignorance du christianisme, paradoxalement associée à l’impression qu’éprouvent les Français de bien le connaître, sans doute parce qu’ils en sont les héritiers ?

Cette ignorance doit en effet nous inquiéter. Alors qu’au XIXe siècle les campagnes antichrétiennes s’adressaient à une bourgeoisie voltairienne, anticléricale mais capable de faire la part des choses parce qu’elle avait reçu une formation historique et même chrétienne, elles s’adressent aujourd’hui à des foules surinformées, mais dépourvues de toute culture historique, doctrinale ou religieuse –nous héritons en cela de la crise de l’Education nationale et de celle de l’Eglise, à travers l’échec de la catéchèse progressiste. C’est la génération « Pierres Vivantes » qui prend le Da Vinci Code au sérieux !
Dans le paradoxe que vous énoncez entre un phénomène caractéristique de la christianophobie en Occident : c’est que le catholicisme est à la fois la religion de l’immense majorité des Français dans sa version culturelle, puisque 90 % de nos compatriotes sont d’origine et de culture catholiques (plus de 60 % sont encore baptisés), et une minorité parmi d’autres dans sa version pratiquante, puisque l’on ne compte en France que 5 à 10 % de pratiquants. Cela donne bonne conscience à ses accusateurs : en le diffamant, ils ont le sentiment d’être des anticonformistes qui s’attaquent à une majorité alors même qu’ils épousent le courant dominant. En revanche, quand les catholiques demandent la parole pour répondre, on la leur refuse sous prétexte que les pratiquants sont minoritaires. Les « christianophobes » sont souvent eux-mêmes des catholiques d’origine. En critiquant l’Eglise, ils n’ont pas l’impression de persécuter une minorité, mais de se rebeller contre une autorité dictatoriale et tyrannique dont ils auraient secoué le joug. Ainsi se prennent-ils pour des esprits forts, quand ils ne sont que des persécuteurs !
Propos recueillis par Pierre-Jean Rivière

- Dans le Reste du Monde:
Une compilation statistique portant sur 13 pays arabes du Moyen Orient montre que la proportion des chrétiens est passée de 20% après la dernière guerre mondiale à moins de 10% aujourd'hui.

Il y a deux raisons majeures à cette diminution, le plus faible taux de natalité des populations chrétiennes et leur exode de plus en plus important. À cela s'ajoute le massacre des populations dans les deux pays les plus peuplés de chrétiens, l'Egypte (11 millions) et le Soudan (7 millions).

L'Islam de l'empire ottoman était relativement tolérant vis à vis de ses minorités, surtout dans la période qui a précédé sa chute en 1917. Jusqu'en 1945, l'Islam radical était jugulé par la présence dans la région des forces armées anglaises et dans une moindre mesure françaises. Depuis la renaissance des nationalismes arabes, on a assisté parallèlement à la résurrection du citoyen "dhimmi", l'infidèle, le citoyen non musulman, de seconde zone et qui n'a pas les mêmes droits que les autres. Le dhimmi est soumis à des taxes particulières, à des restrictions sur le plan du culte; son témoignage auprès des tribunaux musulmans n'est pas recevable et il n'a pas accès à certaines professions. Il ne peut pas se marier avec un conjoint musulman sans se convertir et le prosélytisme chrétien est puni de mort.

Devant cet apartheid de fait, là où ils étaient en forte proportion, les chrétiens ont réagi, ce qui a déclenché des guerres civiles. Au Liban où les maronites représentaient en 1945, 55% de la population, la guerre civile a duré de 1975 à 1990, jusqu'à l'occupation du pays par son voisin musulman, la Syrie, occupation qui dure à ce jour. Au Soudan où la "shariah" (loi musulmane) est appliquée pleinement la population chrétienne des régions méridionales, représentant une forte minorité du quart du pays, s'est révoltée et la rébellion dure depuis vingt ans.

Ailleurs, les chrétiens cherchent l'apaisement pour survivre; en Syrie et en Irak ils sont devenus plus nationalistes et plus antisionistes que les musulmans afin de dévier l'hostilité de ceux-ci.



En Egypte, les Coptes sont les descendants des anciens égyptiens du temps des pharaons. Ils ont été christianisés très tôt dès le premier siècle et ont résisté à l'islamisation du 7ème siècle. À la fin de la dernière guerre mondiale, ils représentaient le quart de la population de l'Egypte, avec de fortes concentrations en moyenne et haute Egypte. Dès 1947, des églises sont incendiées par les "frères musulmans" de Hassan el Banna. Avec Nasser, la "dhimmitude" s'accentue: des villages entiers sont détruits, les églises sont pillées, les coptes sont lynchés ou violés, leurs biens spoliés. Après chaque agression contre les Coptes, les arrestations ont lieu dans les deux camps, les agresseurs rapidement libérés et les victimes renonçant à porter plainte par crainte de nouvelles agressions. Par haut-parleurs des minarets, l'incitation à la haine des Coptes est monnaie courante. Dès qu'une cloche sonne, elle est considérée comme une provocation de la part des Coptes et elle est le prétexte à agression. Les Coptes ne peuvent réparer, agrandir et encore moins construire un lieu de culte sans subir des tracasseries administratives malgré les autorisations et sans qu'un incident n'intervienne, provoquant souvent des morts et des blessés. Le gouvernement rémunère les imams mais pas les prêtres chrétiens. Sur 444 membres du parlement il n'y a que deux coptes. Il en est de même de toutes les institutions du pays, des syndicats ou des conseils populaires. Aucun copte ne peut devenir gouverneur, ni doyen d'une faculté.

Le radicalisme religieux musulman s'intensifie sous l'impulsion des centres de soins, des écoles et des mosquées financés par l'Arabie Saoudite. Les Coptes qui le peuvent n'ont pas d'autres choix que de s'expatrier en Europe et aux Etats-Unis.

Au Soudan, la discrimination va plus loin, car la loi musulmane est appliquée dans toute sa force, sous l'impulsion du doctrinaire Tourabi. Le Soudan méridional chrétien et animiste s'étant rebellé, il est en permanence sous le feu des forces gouvernementales. Après plus de 20 missions sur le terrain depuis dix ans, voici les conclusions de CSI, Christian Solidarity International, organisation caritative qui rachète notamment les "nouveaux esclaves" chrétiens soudanais.

"1 - Par la force et sous la bannière du "jihad" (guerre sainte), le NIF (forces nationales islamiques) insiste pour essayer de transformer ce pays doté d'une multitude d'ethnies et de religions, en un état islamiste totalitaire, ceci contre le gré de la grande majorité de la population, au Nord comme au Sud.

2 - Les attaques du NIF dirigées contre des cibles civiles, que ce soit des assauts militaires ou la création de conditions de famine et le rejet de l'aide humanitaire, visent à déraciner les communautés ethniques et religieuses qui résistent à sa politique totalitaire, avec notamment l'arabisation et l'islamisation forcées.

3 - Le "Jihad" du NIF a eu un effet dévastateur sur la population du Soudan, notamment sur les minorités religieuses et ethniques du Sud, des Montagnes Nuba, du nord du Nil Bleu et des provinces de Kassala et de la Mer Rouge. La mort, la destruction et le déplacement de personnes ont été si massifs dans ces régions, que le NIF se trouve en violation flagrante de la Convention de 1948 de l'ONU sur la prévention et la punition du crime de génocide. (Cette Convention définit comme acte de génocide tout acte tel que tuer les membres d'un groupe, faire subir délibérément certaines conditions de vie à un groupe dans le but de provoquer sa destruction physique, en tout ou partie, et transférer de force les enfants d'un groupe à un autre groupe qui a la ferme intention de le détruire, entièrement ou en partie, qu'il s'agisse d'un groupe national, ethnique, racial ou religieux).

4 - Plus d'un million et demi de personnes, en très grande majorité des africains noirs chrétiens et animistes, ont été tués et plus de 5 millions de personnes ont été chassées de leurs foyers, alors que la population de la région du Sud n'excède pas 7 millions de personnes.

5 - Une très grande majorité des Arabes musulmans dans le Nord sont aussi victimes du NIF. Ce dernier ne représente pas plus de 10% de la population du Nord. Les chefs et les militants de base du mouvement pro démocratique du Soudan, qu'ils soient réels ou imaginaires, sont tués, emprisonnés et torturés dans les infâmes prisons du NIF et leurs "maisons fantômes" (centres de détention). Les citoyens qui ne sont pas des activistes ou des collaborateurs du NIF souffrent de discrimination au niveau de l'emploi, de l'éducation, du logement et des services sociaux.

6 - Le NIF persécute les chrétiens et les autres minorités religieuses, les reléguant, légalement, au statut de dhimmis (citoyens de second rang) ou de Kafirs (infidèles qui sont entièrement hors la loi). Le NIF persécute également les chefs religieux légitimes des communautés musulmanes du Soudan, tels que les chefs des communautés Ansar Et Khatmiyya.

7 - Le commerce d'esclaves se poursuit sur une grande échelle dans les régions du Soudan contrôlées par le NIF, particulièrement dans le sud du Darfur et du Kordofan. Le nombre d'esclaves vendus est évalué à plus de 100 000. Les esclaves africains noirs, des femmes et des enfants pour la plupart, sont contraints d'effectuer du travail domestique et agricole et de fournir des services sexuels contre leur volonté. En retour, ils reçoivent à manger juste de quoi survivre. On leur donne le plus souvent des noms arabes et on les oblige fréquemment à observer les rites musulmans. De nombreuses femmes esclaves subissent des mutilations génitales rituelles. Les esclaves peuvent être achetés et vendus.

8 - Les raids d'esclaves sont entrepris principalement par des milices constituées en unités de la PDF (forces de défense populaires ou milices formées par le gouvernement pour contrer le mouvement de rébellion chrétienne SPLA, armée de libération du peuple Soudanais), avec le soutien logistiques et parfois la participation directe de l'armée régulière. Ils commettent des atrocités telles que meurtres, tortures, viols, pillages, destruction des biens et prise d'esclaves. La cible principale de ces raids est la communauté Dinka dans le nord du Bahr-El-Ghazal. les raids d'esclaves ne sont que l'une des nombreuses armes de guerre utilisées par le NIF pour déraciner les communautés ethniques et religieuses qui résistent à sa politique totalitaire. En font partie l'islamisation et l'arabisation forcées".


Les pourparlers pour la suppression de la shariah et pour l'autodétermination du Sud du Soudan n'ont pas abouti à ce jour.

L'exode des Libanais en Europe et aux Etats-Unis se poursuit à grande allure. Il n'y a plus que 28% de maronites au Liban, contre 55% en 1945. 1,3 millions de Libanais ont quitté le pays en 30 ans sur 4,7!

Il en est de même des chrétiens sous autorité Palestinienne dont la minuscule communauté réduite à 52 000 habitants est en voie d'extinction. En dehors de l'occupation de l'église de la Nativité de Bethlehem pendant plusieurs semaines et de son pillage, les chrétiens subissent des exactions quotidiennes, les magasins d'icônes sont vidés. A Ramallah, parce qu'un commerçant refusait de se soumettre à l'obligation de "protection" mafieuse, tous les magasins chrétiens ont été incendiés et pillés. À Hébron des chrétiens sont expropriés avec des documents officiellement falsifiés. À Bet Jala la population chrétienne est intimidée puis rançonnée: les chrétiens payent une taxe pour éviter que les Tanzim ne tirent sur Gilo à partir de leurs maisons; plus de la moitié des chrétiens sont partis au Chili. Des femmes sont enlevées et des cimetières désacralisés.

Ailleurs dans la péninsule arabique, les chrétiens sont surtout des étrangers séjournant temporairement. Là également ils subissent des pressions aux frontières (confiscation de bibles, d'ornements chrétiens) et dans la vie de tous les jours (les femmes ne peuvent pas conduire en Arabie et sont confinées comme les musulmanes, les employées philippines sont réduites à un quasi esclavage, leur passeport est confisqué…).

Nos sources sont essentiellement américaines et chrétiennes. Comment se fait-il que les élites et les médias européens soient discrets sur cet apartheid et ne s'inquiètent pas du tout du sort de 22 millions de chrétiens au Moyen Orient? Alors qu'ils sont prompts à s'indigner quand il y a quelques rares bavures de l'armée américaine en Irak ou une incursion israélienne en territoire autonome ou une clôture de sécurité érigée. Les véritables raisons de ce comportement étrange sont encore difficiles à discerner. Les prochains événements nous éclaireront peut-être (read less)
La christianophobie est une réalité, un fléau qui se réalise et s’exécute de par le monde dans des formes diverses et multiples. Cette persécution se fait à des échelles variés de par le monde mais qu’elles soient physiques ou intellectuelles, la violence de la Christianophobie est une réalité. Aussi, pour prendre toute la mesure de ce mouvement de haine, une distinction est faite entre la Christianophobie de l’Occident et celle du reste du Monde.

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* Comprendre l'importance de la Vierge Marie dans la religion Chrétienne d'où notre vision de la femme Occidental:
* Livre "traité de la vraie dévotion à la Sainte Vierge" deLouis-Marie, saint Grignion de Montfort

* Livre "Merveilles de Lourdes : 150 histoires vraies et émouvantes pour célébrer 150 ans de foi, de miracles avec la Vierge Marie

- Comprendre l'athéisme et la molestation médiatique de la République des Catholique en France:
* Quand les Catholiques étaient hors la loi" de Jean Sévilia

* Le Terrorisme Intellectuel : De 1945 à nos Jours .. de Jean Sévilia

- Lecture sur les Persécutions :
* *René Guitton "Ces Chrétiens qu'on assassine".

** La persécution des chrétiens aujourdhui dans le monde par Raphaël Delpard

** Enquête sur la christianophobie
de Michel De Jaeghere

Faite attention à la Manipulation des médias :
Livre : "Fabrication du Consentement: de la propagande médiatique".

Sur le colonialisme:
Livre : Esclaves chrétiens, maîtres musulmans : L'esclavage blanc en Méditerranée (1500-1800) (Poche)
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