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Tema: Haine particulière de Satan contre la femme

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Pious Haine particulière de Satan... 23/12/2017, 16:54
Pious Re: Haine particulière de... 23/12/2017, 16:55
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  1. #1
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    Re: Haine particulière de Satan contre la femme

    CHAPITRE V.

    DE LA FAMILLE de Saint Joachim et Sainte Anne.


    D. Saint Joachim et Sainte Anne ne sont-ils pas aussi de la Sainte Famille ?
    R. Oui, l'on peut dire qu'ils en sont.

    D. Comment cela ?
    R. Pour deux raisons ; la première est que Sainte Anne était la Mère, et Saint Joachim était de Père de la Sainte Vierge, ils sont par conséquent les Père et Mère-grands de Jésus. La seconde est parce qu'ils ont composé la plus Sainte Famille qui ait jamais été, après celle qui est sainte par excellence.

    D. Quel a été la source de leur sainteté ?
    R. C'est Marie la très-sainte Vierge, Mère de Jésus, qui était leur Fille, laquelle étant pleine de grâce communiquait de sa plénitude à ses Saints parents.

    D. Je conçois bien comment la sainte Vierge sanctifiait la Famille de ses parents, lorsqu'elle fut au monde, mais comment la pouvait-elle sanctifier avant que d'être ?
    R. Elle la sanctifiait avant que d'avoir l'être en ce que toutes les grâces que Dieu a répandues sur Saint Joachim et Sainte Anne ont été principalement en considération de la Sainte Vierge qui devait naître d'eux.

    D. En quoi a consisté la Sainteté de cette Famille ?
    R. En ce qu'elle a été par avance une image vivante de la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph, dont elle a parfaitement représenté toutes les vertus.

    D. La chasteté y était-elle aussi parfaite que dans la Sainte Famille ?
    R. Encore bien que la chasteté n'y fut pas si parfaite que dans la Sainte Famille, dont toutes les personnes qui la composaient étaient Vierges, néanmoins il est assuré que la chasteté conjugale y a été dans un souverain degré.

    D. Comment cela ?
    R. En ce que Saint Joachim et Sainte Anne ne se sont mariés par aucun motif de sensualité, mais seulement pour faire la volonté de Dieu, et pour lui donner des adorateurs dans leurs enfants. Ce qui fut cause que Saint Joachim reconnaissant la stérilité de Sainte Anne, ils vécurent ensemble comme frère et sœur, si l'on en croit quelques Auteurs.

    D. Comment Sainte Anne conçut-elle donc la Sainte Vierge ?
    R. C'est une pieuse créance de quelques Saints, que ces deux chastes époux après vingt ans d'une parfaite continence usèrent saintement du pouvoir nuptial par un ordre exprès du Ciel.

    D. Comment est-ce que Dieu leur fit connaître sa volonté ?
    R. L'on croit qu'elle leur fut manifestée séparément à l'un et à l'autre par le ministère d'un Ange, qui leur révéla que Dieu leur donnerait une fille dont le nom serait Marie, et qui serait Grande devant Dieu, ensuite de quoi Sainte Anne conçut de la manière ordinaire, quoiqu'avec beaucoup plus de pureté que les autres femmes, parce que la convoitise était presque entièrement éteinte en elle aussi bien que dans son Époux.

    D. L'esprit de pauvreté était-il dans cette famille ?
    R. Oui sans doute, et cela parait dans le bon usage que ces deux Saints faisaient du peu de bien que Dieu leur avait donné, on tient qu'ils divisaient en trois parts, dont ils donnaient l'une au Temple, l'autre aux pauvres, et la troisième était employée à leur subsistance.

    D. Ont-ils été méprisés ? ont-ils beaucoup souffert ?
    R. Oui.

    D. Quelle fut la source du mépris et des souffrances qu'ils endurèrent ?
    R. La stérilité de Sainte Anne en fut la principale, d'autant que c'était une malédiction de la Loi, et une espèce d'abandon de Dieu, ce qui les rendait si méprisables, qu'ils n'étaient bien venus en aucune compagnie, non pas même parmi leurs propres Parents ; c'est pour cela en partie qu'ils vivaient fort solitaires, et séparés du commerce des hommes, ajoutez à cela que le désir qu'ils avaient d'avoir des enfants dans l'espérance d'avoir quelque part à la naissance temporelle du Messie, les faisait d'autant plus souffrir que leur manque de fécondité semblait les exclure pour toujours de cet avantage, et cette peine dura vingt années.

    D. Comment se comportaient-ils en cet état ?
    R. Ils s'appliquaient beaucoup à la prière, et à faire de bonnes œuvres, dont rien ne les divertissait, et jamais ne perdirent la confiance en Dieu nonobstant qu'il les traitait avec tant de rigueur apparente.

    D. Comment se disposèrent-ils à recevoir de la main de Dieu l'enfant qu'il leur donna ?
    R. Ils s'y disposèrent par une Oraison presque continuel accompagnée de larmes, de jeûne, d'aumônes, et d'autres bonnes œuvres, surtout par la longue patience à attendre le moment de la volonté de Dieu.

    D. N'y apportaient-ils point quelqu'autre disposition ?
    R. Oui, car ils firent vœu l'un et l'autre, que s'il plaisait à Dieu d'exaucer leurs prières, et bénir leur mariage, ils lui consacreraient l'Enfant qui en proviendrait, ce qu'ils firent en effet ainsi qu'ils l'avaient promis.

    D. De quelle manière accomplirent-ils ce grand vœu ?
    R. Sainte Anne ayant nourri et élevé sa chère fille, tant désirée et tant aimée, jusqu'à l'âge de trois ans, la mena avec Saint Joachim au Temple, où ils la présentèrent à Dieu, la laissant entre les mains du grand Prêtre, pour être mise au nombre des vierges consacrées au service des Autels, de sorte qu'ils se privèrent de la consolation de l'avoir auprès d'eux, et des services qu'ils en eussent pu tirer.

    D. Comment cette petite fille se comporta-t-elle, quand on la présenta au Temple ?
    R. Elle fit cette sainte cérémonie avec une ferveur admirable, qui montrait assez combien elle était pleine du Saint-Esprit ; quelques saintes âmes ont avancé que par une générosité que nous pouvons justement présumer, elle monta toute seule les quinze degrés du Temple sans être aidée de personne, portée et enflammée d'un amour extraordinaire d'être au plus tôt consacrée au service de Dieu.

    D. Quelles furent ses occupations dans cette sainte demeure ?
    R. Elle était avec plusieurs autres vierges qui logeaient ensemble dans un appartement joignant le Temple ; là elle vaquait à la prière, où elle était la plus fervente, et où elle passait une bonne partie du jour, et de la nuit ; elle s'occupait à la lecture des bons livres, nommément des saintes Écritures, et travaillait en plusieurs ouvrages nécessaires à l'entretien du Temple. Elle filait, cousait, et faisait généralement tout ce qui lui était ordonné. Elle était parmi toutes ces saintes filles comme une lumière, et un exemple d'humilité, de douceur, d'obéissance, de modestie, de chasteté, de silence, et de toute sorte de vertus.

    D. Combien y a-t-elle demeuré ?
    R. Jusqu'à son âge nubile, car pour lors elle en sortie pour être mariée à Saint Joseph. Elle ne consentit à ce mariage que par une révélation qui lui fut faite de la volonté de Dieu, et par laquelle on assura que la virginité, dont elle avait fait vœu, ne serait point endommagée.

  2. #2
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    Re: Haine particulière de Satan contre la femme

    CHAPITRE VI.

    DES SAINTS.


    D. Les Saints appartiennent-ils aussi à la Sainte Famille ?
    R. Oui, tous les Saints y appartiennent, puisqu'ils en sont les fruits, et les enfants adoptifs, et que c'est de là qu'ils ont puisé toute leur Sainteté.

    D. N'y en a-t-il point quelques uns qui y appartiennent plus particulièrement ?
    R. Oui, ce sont ceux qui en ont été sanctifiés plus immédiatement, ou qui y ont eu quelque dévotion particulière.

    D. Nommez m'en je vous prie quelques uns ?
    R. Saint Jean Baptiste est le premier qui a été sanctifiant par la sainte famille, étant encore dans le sein de sa Mère.
    Le bon vieillard Siméon reçut aussi d'elle la consommation de sa Sainteté dans le Mystère de la Purification, lorsqu'il tint le Divin Enfant Jésus entre ses bras.
    Saint Jean l'Évangéliste en a été le premier Enfant adopté, Jésus à sa mort l'ayant substitué en sa place.
    Enfin les vies des Saints sont remplies de Saintes personnes qui ont été très dévotes à la Sainte Famille, et qui s'en sont rendues de très parfaites copies, et s'ils fallait les marquer toutes en particulier, il serait difficile de finir.

  3. #3
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    Re: Haine particulière de Satan contre la femme

    La dignité propre de la femme (Pie XII).



    NOUVEAUX DEVOIRS

    Pie XII - Allocution aux femmes italiennes, 21 octobre 1945.


    Votre grande affluence autour de Nous, chères filles, revêt une signification spéciale dans les circonstances présentes; car, si en tout temps il Nous est agréable de vous accueillir, de vous bénir et de vous donner Nos conseils paternels, à l'heure actuelle s'ajoute la nécessité de vous parler, suivant vos pressantes demandes, d'un sujet d'une extrême portée et d'une importance capitale en nos jours : des obligations de la femme dans la vie sociale et politique.

    Nous souhaitions Nous-mêmes pareille occasion, car l'agitation fébrile du présent angoissant et, plus encore, la préoccupation que cause l'avenir incertain ont fait de la condition de la femme une des questions les plus importantes, aussi bien pour les amis que pour les ennemis de Jésus-Christ et de l'Eglise.

    Affirmons tout de suite que pour Nous le problème féminin, dans son ensemble comme sous chacun de ses multiples aspects particuliers, consiste totalement dans le maintien et dans l'accroissement de la dignité que la femme a reçue de Dieu. Aussi, pour Nous, ce problème n'est-il pas seulement d'ordre juridique ou économique, pédagogique ou biologique, politique ou démographique, mais encore, étant donné sa complexité, un problème qui gravite tout entier autour de cette question : comment maintenir et renforcer cette dignité de la femme, aujourd'hui surtout, au milieu des circonstances dans lesquelles la Providence nous a placés? Voir le problème d'une autre manière, le considérer unilatéralement, sous un seul des aspects, quel qu'il soit, mentionnés plus haut, serait la même chose que l'esquiver, sans profit pour personne, et encore moins pour la femme elle-même. Le détacher de Dieu, de l'ordre très sage du Créateur, de sa très sainte volonté, serait en méconnaître le point essentiel, c'est-à-dire la véritable dignité de la femme, dignité qu'elle a reçue de Dieu et qu'elle conserve en Dieu seulement.

    Il s'ensuit qu'ils ne sont pas à même de considérer comme il convient la question féminine, ces systèmes qui excluent de la vie sociale Dieu et sa loi, et concèdent tout au plus aux préceptes de la religion une humble place dans la vie privée de l'homme. C'est pourquoi, dédaignant les mots sonores et ceux qu'emploient certains pour qualifier les revendications du féminisme, vous avez bien fait de vous grouper et de vous unir, en tant que femmes et jeunes filles, afin de répondre comme il convient aux naturelles exigences et au véritable intérêt de votre sexe.

    La femme collaboratrice de l'homme


    En quoi donc consiste cette dignité que la femme a reçue de Dieu ? Interrogez la nature humaine telle que Dieu l'a formée, élevée et rachetée par le sang du Christ. Dans leur dignité personnelle d'enfants de Dieu, l'homme et la femme sont absolument égaux, comme aussi en ce qui concerne la fin dernière de la vie humaine, qui est l'union éternelle avec Dieu dans la félicité au ciel.

    C'est la gloire impérissable de l'Eglise d'avoir rendu à cette vérité le rang et l'honneur qui lui revenaient et libéré la femme d'une servitude dégradante contraire à la nature. Mais l'homme et la femme ne peuvent maintenir et perfectionner leur dignité qu'en respectant et en mettant en pratique les qualités particulières que la nature a données à l'un et à l'autre, qualités physiques et spirituelles indéfectibles, dont il n'est pas possible de détruire l'ordre sans que la nature toujours ne parvienne à le rétablir. Ces caractères particuliers qui distinguent les deux sexes se révèlent avec tant de clarté aux yeux de tous que seuls une obstination aveugle et un doctrinarisme non moins funeste qu'utopique pourraient méconnaître ou ignorer leur valeur dans l'ordonnance sociale.

    Bien plus : les deux sexes, en vertu de leurs qualités particulières elles-mêmes, sont ainsi ordonnés l'un à l'autre, que cette mutuelle coordination exerce son influence dans toutes les nombreuses manifestations de la vie humaine et sociale.

    Nous Nous bornerons à vous en rappeler deux seulement, à cause de leur importance spéciale : l'état matrimonial et celui du célibat volontaire, suivant le conseil évangélique.

    L’état de mariage


    Le fruit d'une véritable communauté conjugale ne comprend pas seulement les enfants, quand Dieu en accorde aux époux, et les bienfaits matériels et spirituels que la vie de famille offre au genre humain. La civilisation dans chacune de ses branches, les peuples et la société des peuples, l'Eglise elle-même, en un mot toutes les vraies valeurs de l'humanité en éprouvent les heureux effets partout où cette vie conjugale s'épanouit dans l'ordre, partout où la jeunesse s'habitue à la considérer, à l'honorer, à l'aimer comme un saint idéal (a).

    Au contraire, partout où les deux sexes, oublieux de l'intime harmonie voulue et établie par Dieu, s'abandonnent à un individualisme pervers, partout où ils ne sont plus qu'un objet réciproque d'égoïsme et de cupidité, partout où ils ne coopèrent pas d'un mutuel accord au service de l'humanité, suivant les desseins de Dieu et de la nature, partout où la jeunesse, négligeant ses responsabilités, légère et frivole dans son esprit et dans sa conduite, se rend moralement et physiquement inapte à la vie sainte du mariage, le bien commun de la société humaine, dans l'ordre spirituel comme dans l'ordre temporel, se trouve gravement compromis, et l'Eglise de Dieu elle-même craint non pour son existence (car elle possède les promesses divines), mais pour les fruits plus abondants de sa mission parmi les hommes.


    (a) - " Il frutto di una vera comunanza coniugale comprende non solo i figli, quando Iddio li concede agli sposi, e i benefici materiali e spirituali che la vita di famiglia offre al genere umano. Tutta la civiltà in ogni suo ramo, i popoli e la società dei popoli, la Chiesa stessa, in una parola, tutti i veri beni della umanità ne risentono i felici effetti, là ove questa vita coniugale fiorisce nell' ordine, ove la gioventù si abitua a contemplaria, a onorarla, ad amarla corne un santo ideale ".

    La " Vocation"

    Mais voici que depuis bientôt vingt siècles, dans toutes les générations, des milliers et des milliers d'hommes et de femmes, parmi les meilleurs, renoncent librement, pour suivre le conseil de Jésus-Christ, à la fondation d'un foyer, aux saints devoirs et aux droits sacrés de la vie matrimoniale. Le bien commun des peuples et de l'Eglise est-il mis pour autant en péril ?

    Tout au contraire; ces âmes généreuses reconnaissent que l'association des deux sexes dans le mariage est un très grand bien. Si elles s'éloignent de la vie ordinaire du chemin battu, loin d'abandonner l'humanité, elles se consacrent à son service, dans le détachement absolu d'elles-mêmes et de leurs propres intérêts, en une activité incomparablement plus ample, totale et universelle.

    Contemplez ces hommes et ces femmes : voyez-les se consacrant à la prière et à la pénitence, appliqués à l'instruction et à l'éducation de la jeunesse et des ignorants, penchés au chevet des malades et des agonisants, le cœur ouvert à toutes les misères et à toutes les faiblesses, pour les remonter, les réconforter, les soulager, les sanctifier.

    Quand on pense aux jeunes filles et aux femmes qui renoncent volontairement au mariage pour se consacrer à une vie plus élevée de contemplation, de sacrifice et de charité, un mot lumineux monte aux lèvres : " la vocation ". C'est le seul mot qui puisse traduire un sentiment si élevé. Cette vocation, cet appel de l'amour se fait entendre des façons les plus diverses, tout comme sont infiniment distinctes les modulations de la voix divine, invitations irrésistibles, inspirations pressantes, suaves impulsions.






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