Bueno, seudoteólogo también se puede entender como falso teólogo, no en el sentido de que no sea teólogo, sino teólogo de una doctrina falsa. Lo mismo que un seudoprofeta es un falso profeta no porque no sea profeta necesariamente, sino porque es un profeta mentiroso. De todos modos, me parece que el adjetivo eminente le queda bastante grande a Teilhard de Chardin. Góstico, panteísta, masón, creador de fraudes antropológicos... todo un currículum, vaya. Dejó el desastre. En fin, ya dijo el Señor (y refiriéndose precisamente a los falsos profetas), que por sus frutos los conoceríamos.
Por cierto, encontré un artículo bastante interesante en francés sobre tan catastrófico personaje:
Le prophète de l'Antéchrist
Teilhard de Chardin
"Le représentant de la Synarchie auprès de l'Église catholique"
Condamné par Rome
Un professeur de catéchèse, nous demandait, l'autre jour : « Mais, Teilhard . . . est-ce que la condamnation de Rome contre lui n'a pas été retiré ? »
Non, non, non et non.
La condamnation de Rome est un Monitum du Saint-Office qui date de 1962, et qui n'a jamais été révoqué, ni en tout ni en partie, d'aucune façon, par aucune autre déclaration. Et ceux qui prétendent que Teilhard est maintenant accepté ou même toléré par Rome, ceux-là sont des menteurs, ou des perroquets de menteurs.
Voici donc, de nouveau, ce Monitum du Saint-Office de 1962 :
« Certaines oeuvres du P. Pierre Teilhard de Chardin, même des oeuvres posthumes, sont publiées et rencontrent une faveur qui n'est pas négligeable.
« Indépendamment du jugement porté sur ce qui relève des sciences positives, en matières de philosophie et de théologie, il apparaît clairement que les oeuvres ci-dessus rappelées fourmillent de telles ambiguités et même d'erreurs si graves qu'elles offensent la doctrine catholique.
« Aussi les EEm. et RRv Pères de la Sacrée Congrégation du Saint-Office exhortent tous les. Ordinaires et Supérieurs d'Instituts religieux, les Recteurs de Séminaires et les Présidents d'Université à défendre les esprits, particulièrement ceux des jeunes, contre les dangers des ouvrages du P. Teilhard de Chardin et de ses disciples ».
Reconnu par les francs-maçons
Et pour ceux qui sont déjà gangrenés par Teilhard, et qui voudraient bien que ses erreurs soient la vérité, et qui essayent de se faire accroire que Teilhard n'est plus condamné, pour eux,, voici le témoignage irréfutable d'un ami de Teilhard, Jacques Mitterand, authentique franc-maçon, qui déclare que la doctrine de Teilhard est celle de la franc-maçonnerie, que Teilhard ne peut pas adorer Dieu puisqu'il a mis l'homme sur l'autel et que c'est l'homme qu'il adore.
Et dans le même discours, ce franc-maçon haut gradé reconnaît que Rome a condamné Teilhard. Avis aux catéchètes de chez nous et d'ailleurs, trompés par Teilhard.
Voici donc un extrait du discours du Grand-Maître Jacques Mitterand à l'Assemblée Générale du Grand Orient de France, tenue à Paris, du 3 au 7 septembre 1962.
«Au nom de l'oécuménisme, les catholiques ne restent pas fidèles comme nous, les francs-maçons, 'à leur passé pour en tirer leçon, ils s'efforcent de rénover leur religion ...
« Écoutez bien : un jour, un savant s'est levé de leurs rangs, un authentique savant, Teilhard de Chardin. Il a commis, sans s'en douter peut-être, le crime de Lucifer qu'à Rome on a tant reproché aux francs-maçons : dans le phénomène de « l'homonisation » et, pour reprendre la formule de Teilhard, dans la « Noosphère », c'est-à-dire dans cette masse de consciences qui entourent le globe, c'est l'homme qui est au premier plan. Quand la conscience atteint son apogée, au point « Oméga », dit Teilhard, alors c'est sûrement l'homme tel que nous le désirons, libre dans sa chair et dans son esprit. Ainsi, Teilhard a mis l'homme sur l'autel et, adorant l'homme, il n'a pu adorer Dieu.
« Rome l'a senti, qui, par toutes les puissances rétrogradés groupées dans son sein, a condamné Teilhard.
« Mais, me dit-on, à quoi a servi cette condamnation ? Écoutez : de son vivant, Teilhard n'a pu publier aucun de ses textes. Ce n'est qu'après sa mort qu'aux éditions du Seuil et chez Grasset, ses livres sont sortis. Imaginez que nous soyons dans un pays comme l'Espagne où l'Église soit toute maîtresse, ni les éditions du Seuil, ni Grasset n'auraient pu sortir les ouvrages de Teilhard de Chardin ...
« Ah ! ils sont là, groupés les uns et les autres, dans leurs reniements successifs, tentant de sauvegarder par la violence toutes les forces du passé pour écraser l'avenir
« Notre mission à nous est de servir l'avenir. Non contents d'être, chez nous, dans nos Temples, la République à couvert nous sommes en même, temps la Contre-Église parce que nous sommes les hommes de la vie, les hommes de l'espoir, de la lumière, du progrès, de l'intelligence et de la raison.
« S'il est vrai qu'à l'Occident continue à briller pour nous l'Étoile flamboyante, symbole de nos espérances, nous regardons tous, associés à tous nos FF .•. , monter vers l'Orient le soleil radieux de la Saint-Jean d'été, soleil qui est la force vivifiante des moissons à venir, mais qui, pour nous, Francs-maçons, est source de lumière et de vérité. »
Même si Rome n'avait pas condamné Teilhard, ou bien avait retiré ou adouci sa condamnation, est-il possible, après ce témoignage d'un franc-maçon si haut placé comme Mitterand, est-il possible de faire encore confiance à Teilhard et de se croire catholique ? Non, certainement.
Ce discours de Mitterand devrait aussi éclairer nos catholiques à « renouveau », dont se moquent les francs-maçons qui, eux, disent-ils, « restent fidèles à leur passé pour en tirer leçon. »
Et, cette phrase de Mitterand : «A quoi a servi la condamnation de Rome contre Teilhard ? » Quelle humiliation pour les catholiques que cette constatation trop vraie d'un franc-maçon ! La popularité de Teilhard est donc une victoire des francs-maçons ! Mais, oui bien sûr !
L'un des leurs
Donc, c'est clair, chers amis catéchètes, Teilhard est condamné par Rome, approuvé par la franc-maçonnerie, reconnue par la franc-maçonnerie comme présentant la même doctrine. Et Teilhard est aussi l'un des leurs, Teilhard était franc-maçon.
Dans la splendide revue de Madrid « Qué Pasa ? » le 13 avril 1968, on trouve des renseignements de première importance sur Teilhard, ce jésuite français. Nous avons retrouvé le texte dans une autre revue en espagnol « La Traduction », publiée en Argentine, juin 1968.
Voici la traduction de l'article.
"Teilhard de Chardin, le prophète de l'Antéchrist"
A partir de ce numéro de « Qué Pasa ? » nous présenterons à nos lecteurs ce rapport profond, documenté et véridique, sur les origines, les instruments humains, le style et les ravages de la révolution opérée dans l'Église. Notre illustre collaborateur « Pablo Maria de la Porcion », avec la ferveur et la clairvoyance que seule peut donner la grâce du Christ, sait percer avec les armes perforatrices de la foi, qui aiguisent l'intelligence, les épais rideaux de fumée que répandent et épaississent, pour cacher la réalité satanique des présents jours apocalyptiques, les disciples pervers, égarés, conscients ou inconscients des faux prophètes comme Teilhard de Chardin.
Avec la foi bien haut dans nos coeurs, commençons à lire :
—1
J'eus une conversation avec un Père Jésuite, un de mes anciens professeurs, vertueux, plein d'abnégation, et authentique fils spirituel de saint Ignace, et qui me supplie de ne pas divulguer son nom pour éviter des « complications » avec le Provincial. Ce Père me demanda:
— Est-ce sérieux, votre conviction que Teilhard a été l'instrument de la franc-maçonnerie ?
— J'en suis convaincu, Père.
—Je le verrais que je ne le croirais pas, au sujet de l'un de mes frères en religion. Non, non, c'est impossible !
—Est-ce qu'alors ce ne serait pas dû à des jugements a priori mêlés de sentiments, Père?
—S'il s'agissait d'une autre personne que vous je ne l'écouterais pas ; mais vous, vous êtes sérieux, et je sais que vous connaissez ces choses à fond. Dites-moi, sur quoi vous basez-vous ?
— Sur la preuve dite « preuve des signes convergents », à savoir :
1. Sur le témoignage de trois de mes amis de qui j'en tiens la certitude. L'un d'eux, haut fonctionnaire en une position-clé d’un vaste réseau d'entreprises, se trouvait inscrit, à l'époque de la République, au Grand Orient d'Espagne (33e degré Martinez Barrio). Un autre, licencié en sciences exactes, appartient — ou plutôt appartenait encore à la fin de 1965 — au « Symbolisme », et il est encore un ami personnel du Frère .• . Alec Mellor. Le troisième, médecin, se trouve encadré et il entretient depuis des années, des relations avec la « Gnostique Valentinienne ».
Peu de jours après l'élection du Pape Jean XXIII, ils vinrent me dire : « Avec les ouvrages de l'un des nôtres, nous allons organiser la grande révolution et pénétrer dans les séminaires catholiques. « A cette époque, je ne parvins pas à voir le sens profond de leurs paroles, mais d'ans l'été 1966, j'arrivai à m'apercevoir qu'ils avaient fait allusion à Teilhard. L'un d'eux me l'a avoué.
2, Sur la grande propagande et diffusion faite pour ses oeuvres par les Loges sans distinction, d'abord en cachette et avec précaution ; aujourd'hui déjà, effrontément. Je possède des informations et des preuves en abondance.
3. Sur les déclarations du ministre de la Justice du Gouvernement Pétain, qui put voir le nom de Pierre Teilhard de Chardin écrit dans « Le livre d'or de la Synarchie », qu'il avait en ses propres mains.
4. Sur la critique du contenu de ses ouvrages, puisqu'il s'agit des mêmes théories ou thèses gnostiques, rosicruciennes, déformées et mélangées en un syncrétisme diabolique, avec des vérités tirées de la scolastique. Les parallélismes sont étonnants.
« La pilule meurtrière de strychnine ne se donne pas toute seule aux chiens de chrétiens, mais bien mieux enveloppée dans une bonne tranche de chair » (paroles dites clans Kabale, 18).
Ils tenaient tout cela préparé depuis un grand nombre d'années.
5. Sur la vie d'impudicité (malgré ses efforts pour se cacher) que mena ce héros de la grotte de Chou-Kou-Tien (où il fit montre du ridicule le plus effrayant), car ... que
vaut-il mieux -toucher en salaire, ou bien trente sicles d'argent ou bien une « belle poupée de chair et d'os » ?
6. Parce que chaque fois qu'un intellectuel laïque (j'exclus ici les clercs) rompt une lance en faveur de cet hérétique, j'ai pu, en général, vérifier, après avoir gratté jusqu'au fond, j'ai pu vérifier que cet intellectuel ne faisait qu'obéir à la voix de son patron, (la franc-maçonnerie) vous m'entendez, mon Père ?
Les mouvements d'une certaine presse espagnole viennent de me donner raison.
7. Sur ces associations qui, secrètes jusqu'à maintenant, sont en train d'apparaître en pleine lumière, et qui prennent des noms équivalents ou ressemblants à celui de ces « Amis de Teilhard », tous formés par des maçons, Rotariens, Lions, ou autres mauvaises herbes semblables.
Je pourrais continuer, mon Père, mais il y a deux atouts décisifs que je réserve pour une meilleure occasion, car en ce monde après les blanches on joue les noires.
Et le Pape Jean, par son Monitum de 1962, essaya d'éviter les ravages qui se produiraient inévitablement dans les âmes tendres et délicates des jeunes séminaristes en voie de formation, mais ... il aurait fallu plus d'énergie.
— Vous insinuez « l'excommunication »?
— Exactement, mon Père : sur toutes les oeuvres et sur la personne même de Teilhard. Mais on cachait, à cette époque, son impudique « Pensée cachée » qui avait déjà trop ouvert les yeux à de hautes personnalités de la Curie. Lui-même (Teilhard) voulait éviter la diffusion de ses ouvrages, et qu'ils parviennent en la forme où ils sont parvenues jusqu'au coeur des séminaires. Mais Jeanne Mortier (l'héritière de ses oeuvres) ne s'arrêta devant rien. D'un autre côté, le Pape se sentait le coeur brisé d'avoir à excommunier un fils de saint Ignace. Lui qui voulait donner l'absolution à tout le monde ...
(Mon bon ami religieux a les larmes aux yeux.)
— Père, si on travaillait de nouveau à le faire mettre à l'index, maintenant qu'il ne reste plus le moindre doute ; mais ... peut-être que ce serait trop tard alors ? Qui pourra réparer tout le mal qu'il a fait ? Les dégâts causés par Teilhard sont plus grands que ceux qui furent faits en leur temps, par Luther, Calvin, Voltaire, et Renan, réunis en les additionnant ...
— Pour quelle raison ne développez-vous pas et n'exposez-vous pas vos Oints dé vue ?
— Je devrai être dur, mon Père, et peut-être que certaines choses plairont très peu à Votre Révérence.
— Je préfère le bistouri, si douloureux soit-il, plutôt que de voir le pus continuer à envahir un organisme qui est toute ma vie et qui est malade d'une très forte fièvre.
—11—
Au moment où presque personne, en Espagne, ne connaissait le nom de Teilhard de Chardin, moi je dévorais ses écrits au pied de quelques pins bien bas sur les pentes du Tibidabo. Je suis resté ainsi durant des années, étudiant à fond ces oeuvres extravagantes que je commentai en compagnies de personnes éminentes !
Un groupe de maçons, par l'intermédiaire de deux de mes amis, l'un « symboliste » depuis les années trente, et l'autre « gnostique-valentinien », placèrent entre mes mains les oeuvres complètes de ce jésuite français.
Durant l'été 1966, ils finirent par n'avouer que « il y des années que la franc-maçonnerie a donné l'ordre ou la consigne de diffuser au maximum les ouvres de Teilhard de Chardin, surtout en Espagne ». Cela s'accorde, par ailleurs, avec les déclarations faites par le Frère . • . Yves Marsaudon, du Conseil Suprême de France ; par le Frère , Riandey du Symbolisme et Grand Commandeur du Conseil Suprême (rite écossais) ; et aussi par le Frère . • . Alexandre Chavalier, Grand Maître du Grand Orient de France ; et récemment par le Frère . • . Marius Lepage, directeur du Symbolisme et Maître de la Loge « Volney » de Laval.
Les consignes secrètes d'hier sont aujourd'hui des secrets de Polichinelle. Tels sont les faits. Maintenant, avec un petit peu de sens commun et de logique, il y a lieu de se demander : Depuis quand Satan se consacre-t-il à faire de l'apostolat et à conduire des âmes au Christ par l'intermédiaire de ses instruments et institutions de ténèbres ? Est-il possible qu'il, se trouve dans le monde si grand niais et si grande niaiserie pour croire à cela, ou . . . si grande mauvaise foi ?
Le ministre de la Justice du Gouvernement du Maréchal Pétain, de Vichy, tint dans ses mains, à l'aube des années quarante, « Le Livre d'Or de la Synarchie ». Il ne vit pas l'importance que ce livre avait, au fond. Néanmoins, il fit, sur le livre, un commentaire spontané, insignifiant en apparence, mais qui allait, avec les années, prendre une valeur incalculable.. Le nom de Teilhard, à cette époque, était peu connu, et n'était même pas mentionné. Par conséquent, il n'y a pas lieu de considérer comme tendancieuses les déclarations du ministre, corroborées par Pierre Laval, qui se lisent textuellement comme suit:
«... et Pierre Teilhard est le représentant de la Synarchie auprès de l'Église catholique ».
On remarquera qu'il n'est pas dit « représentant de l'Église », mais représentant de la Synarchie. Les faits sont révélateurs et concluants.
L'ancien soupçon que l'on avait que Teilhard était un franc-maçon, a été, depuis, amplement débordé, et aujourd'hui il n'y a même plus lieu de discuter le fait qu'il appartenait à l'Ordre Martiniste. Il fut un autre Abbé Roca, mais qui ne voulut pas (ou on ne le lui permit pas) rompre, avec l'Église catholique, c'est-à-dire qu'il fut un hybride jésuite-martiniste.
Mais, qu'est-ce que le Martinisme ? Ce serait long à expliquer, mais pour que le lecteur puisse se situer, je tenterai de résumer le plus possible, en concluant :
Déjà, vers la moitié dû siècle dernier, une société secrète de France, avec des racines et des tentacules en. Angleterre, au Danemark, en Allemagne et en d'autres pays, était comme le réceptacle de doctrines ténébreuses et d'idées que ses adeptes qualifiaient d'avancées », et cela dans l'unique but de détruire la Papauté. Par elle (société secrète) ils s'emparaient de positions de gouvernement, d'administration, d'organes législatifs, financiers, éducationnels, etc., c'est-à-dire des positions « clé » d'un État ... et tout cela dans le secret le plus rigoureux.
On peut trouver les vraies racines de ces doctrines dans l'Encyclopédie, mais elles relèvent aussi du grossier panthéisme de Spinoza, de l'idéalisme kantien et de celui de Hegel, du transformisme de Lamark, Heaeckel et Darwin.
Elles essayent de détruire par une pseudo-science (car l'erreur ne saurait jamais être scientifique), la Foi dans l'Ancien Testament (particulièrement la Genèse), et dans les quatre Évangiles. Ce que nous pourrions appeler « leur synthèse » consiste à déterrer les cosmogonies chaldéennes et babyloniennes, mais en essayant de les compléter par une idée nouvelle qui consiste à vouloir faire coïncider le « Point Omega » (votre infini mystico-symbolique) avec l'« Infini Mathématique » au moyen de « l'évolution » :
« Le Grand-Tout ne peut se mouvoir lui-même en dehors de la théorie de coordination ou de l'ordre, dont le nombre de combinaisons, dit-on, est infini ; et le Grand Architecte ( le « grand-tout ») ne peut créer en dehors de l'évolution. »
Chers amis, vous connaissez maintenant Teilhard. Eh bien I prenez la peine de comparer sa doctrine hérétique avec les notions que vos enfants apprennent dans la nouvelle catéchèse approuvée par les évêques, et vous verrez que ça se ressemble comme deux gouttes d'eau. Teilhard a pourri nos séminaires, et maintenant les jeunes prêtres pourrissent les fidèles, jeunes et vieux. Ce processus aussi était prévu par la franc-maçonnerie : vos propres prêtres se chargeront de vous conduire à Satan.
http://www.michaeljournal.org/causer...s/tape_135.htm
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